F.L. : « L’erreur ici est de penser que les exigences, voire même l’esprit, derrière DATADOCK et Qualiopi se recouvrent à 80 %. Il y a certes un socle commun, mais il y a de nombreuses différences et notamment celui du cadre d’audit. La logique passe d’un audit documentaire et déclaratif à un audit sur site avec échantillonnage à la discrétion de l’auditeur. Sur cette base déclarative, certains process ont été déposés sur la plateforme DATADOCK, mais n’ont parfois jamais été mis en œuvre ou appliqués sur un plan opérationnel. Cela rend l’écart entre ce que l’on pense avoir mis en œuvre pour DATADOCK et les constations réelles relevées lors de l’audit initial encore plus grand ! »